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azurite3

Portrait :

Je suis thérapeute énergétique, chamane et artiste.
Dans ma palette de soins vous pouvez trouver le massage harmonisant, le Reiki, la libération des mémoires, le nettoyage des corps, des chakras… et bien d’autres choses.
Je crée également des objets en céramique, des sculptures en terre et des photos artistiques.
Suite à plus de vingt années comme directrice de crèche, j’écris, en ce moment, un livre sur les jeux d’éveil pour les bébés : pratique et aide à l’évolution de l’enfant.
Une autre facette encore : je communique de façon intuitive avec les animaux selon la méthode d’Anna Evans et le soutien de guides chamans.
A toutes ses passions, j’ajoute un attrait particulier pour les loups et les éléphants ainsi que pour la beauté de la nature.
Le tout transparait dans mon cadre de vie que je désire harmonieux et respectant les règles du feng-shui.

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Loup du canada 2007 macro

29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 18:46

Le triangle victime-bourreau-sauveteur

 

Arrêtez de croire que vous devez nous « sauver ». Vous n’êtes pas nos sauveteurs ! Certains d’entre-nous (les animaux) acceptent d’avoir le rôle de victime parce que certains humains jouent les bourreaux. Mais ne maintenez pas ce triangle en jouant les sauveteurs. Si vous voulez prendre ce rôle, vous alimentez le triangle.

Elevez-vous.

C’est l’humain qui maintient ce triangle : « c’est terrible », « quelle horreur », « quelle folle ou quel fou », « quoi, traiter des animaux comme ça ? »…

Ne cautionnez pas mais ne condamnez pas non plus.

Acceptez, comme nous, que certains ont ce comportement pour le moment ; accueillez, envoyez de l’Amour et lâchez prise.

Un de vos grands Maîtres vous a enseigné que l’Amour peut tout ! Parce que l’Amour est au-dessus de ce triangle victime-bourreau-sauveteur. Il ne s’est d’ailleurs jamais positionné comme sauveteur, contrairement à ce que certaines institutions veulent vous faire croire. Il aime inconditionnellement, autant le bourreau que la victime ou le sauveteur !

Tous les enseignements, vous les avez en vous et autour de vous depuis des siècles. Observez la nature. Si vos yeux regardent à travers le triangle, vous pensez que la chèvre est victime du loup. Vous sauveriez la chèvre que le loup serait la « victime ».

Si vos yeux regardent avec amour, la chèvre choisi de s’offrir pour l’équilibre de la nature.

Otez vos lunettes-filtrantes et regardez

Tout est bien

Tout est amour

Même dans la chèvre mangée par le loup

Tout fait partie de tout

Tout fait partie du Tout

Le ver de terre mangé par le merle

La chèvre mangée par le loup

La souris mangée par le chat

Le chien mangé par l’humain

Observez vos jugements !

Là réside le travail, le changement, le chemin à parcourir…

Bon lâcher-prise de vos jugements

Amour

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie à condition qu’il ne soit ni coupé ni modifié d’aucune manière et que vous y laissiez apparaitre cette mention avec le nom Marianne Dehant et les sites http://www.azurite.be/  et http://azurite.over-blog.com/

 

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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 17:44

La transmutation

homme-qui-marche-Giacometti.jpg 

Comme nous l’avons dit, le loup est lié à la juste place, la fluidité et l’équilibre. Voici une facette supplémentaire : la transmutation.

Lorsqu’à la puissance de l’action, nous allions la lune, l’intuition, le féminin, nous abordons la transmutation. Elle s’opère lorsque le masculin et le féminin s’équilibre. Ceci ne se fait pas sans réajustement. Nous ne vous disons pas que la souffrance est obligatoire mais plus vous résistez, plus vous souffrirez longtemps. Si vous vous laissez porter par la fluidité du changement, vous retrouvez plus rapidement votre équilibre. Dans cette nuit où l’intuition (la lune) vous guide, vous saurez traverser les perturbations. Même si elles ne sont pas confortables, elles sont une nécessité pour retrouver le jour. Ce passage vous est présenté encore et encore pour que vous trouviez votre équilibre, la voie de la transmutation.

Si vous trébuchez, il n’y a pas de jugement à avoir. L’équilibriste qui tombe, recommence et réessaye encore jusqu’à ce qu’il passe sans encombre. Ainsi vous sont présenté et représenté les expériences de la vie jusqu’à ce que vous passiez sans encombre et que vous évoluiez avec équilibre. A l’arrivée, vous verrez le monde sous un autre angle. Inutile d’arrêter d’avancer, vous ne faites que prolonger la traversée. Plus vous vous exercez à avancer sur le fil, plus il vous sera facile de maintenir votre équilibre. Pour exploiter d’avantage cette métaphore : l’équilibriste garde plus facilement sont équilibre lorsqu’il avance. A l’arrêt, les difficultés augmentent, alors avancez sur votre fil vers votre transformation ; équilibrez vous avec vos deux polarités. Votre monde change, avancez avec lui.

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie à condition qu’il ne soit ni coupé ni modifié d’aucune manière et que vous y laissiez apparaitre cette mention avec le nom Marianne Dehant et les sites http://www.azurite.be/  et http://azurite.over-blog.com/

 

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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 11:25

Action :

 

Tu peux inciter, lancer le mouvement vers l’extérieur. Les oiseaux sont fait pour s’envoler et non pour revenir tout le temps vers la maison. Lance tout azimut, sème sans attendre une plante plutôt qu’une autre, sème sans condition et tu seras comblée par le résultat.

Tel chose fonctionne, tel autre pas… peu importe mais sème. Ta liberté réside dans le fait de pouvoir dire oui ou non. Rester enfermée sans semer n’est pas liberté.


Vivre une expérience ou avoir des informations sur le déroulement probable n’est pas la même chose. Mais « montrer l’exemple » a tout de même un impact.

Vous marchez sur vos deux pieds , c’est naturel pour vous et vous montrez l’exemple aux petits enfants. Le petit devra, lui-même, faire l’expérience de la marche, trouver son équilibre, observer ce qui le fait  tomber, ressentir dans son corps comment cela fonctionne. Vous ne vous vantez pas de savoir marcher et vous ne vous en cachez pas. Vous êtes l’exemple. Lorsque l’enfant tombe pendant son apprentissage, il se relève sans pour autant renoncer à son but, la marche. Ces chutes lui indiquent comment fonctionne son corps, l’attraction terrestre, les densités sur lesquels il marche… toutes ces informations l’aident à mieux avancer. Vous n’avez jamais vu un enfant renoncer définitivement à la marche parce qu’il a fait un chute. Chaque enfant a son rythme, fait ses expériences et marche.

mouvement d eauDans votre vie d’adulte, vous voulez avoir une place. Or, on « n’a pas » une place, on est à sa place. Avoir, vous pourriez ne plus l’avoir et certains angoissent pour cette perte possible. Etre à sa place et vous suivez le flux et le reflux des mouvements extérieurs, vous vous adaptez et réajustez continuellement car votre place n’est pas fixe ou rigide. Elle est en mouvement et en fonction de votre état d’esprit.

Chacun aide à l’équilibre de l’Univers lorsqu’il est à sa place. L’Univers est mouvement… Votre place juste aussi. Pensez-vous pouvoir rester à la même place alors que la terre tourne ? Votre place en ce moment n’est pas la même qu’il y a une minute. Que comptez-vous posséder là dedans ?

Par contre, il existe toujours une place juste pour chaque chose et chaque individu. Votre être sais où, votre intuition vous la transmet. Si vous ne l’entendez pas, ce sont alors les événements qui vous donnent des indications. Quoi qu’il en soit, vous savez, en vous, si vous marchez en équilibre sur vos deux pieds ou entrain de tomber vers l’avant, le futur ; ou tirer vers l’arrière ; ou penché d’un côté en délaissant d’autres dimensions. Votre aptitude à décoder vos expériences et à en tirer les leçons vous aidera à mettre en action votre place. Lorsque chaque être humain sera à sa juste place, la paix règnera sur terre. Inutile d’incriminer l’extérieure, marchez simplement sur le chemin de votre vie à votre juste place. Votre Etre sera alors l’exemple pour les êtres moins expérimentés afin qu’ils marchent, eux-aussi, sur leur propre chemin, à LEUR juste place.

 

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie à condition qu’il ne soit ni coupé ni modifié d’aucune manière et que vous y laissiez apparaitre cette mention avec le nom Marianne Dehant et les sites http://www.azurite.be/  et http://azurite.over-blog.com/

 

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 09:53

Aide à l’ouverture de conscience

Photo0055.jpg

 

Pour faire une boule de neige, le début est long et fastidieux. Lorsqu’elle a déjà une certaine épaisseur, elle grossi beaucoup plus vite !

Les changements vers plus de conscience, c’est pareil. Les débuts paraissent longs et demandent beaucoup d’efforts. Après cela, les changements se font de plus en plus vite et demandent moins de concentration. Alors courage, la conscience est en chemin et avance inexorablement de plus en plus. Une phrase populaire : « c’est le premier pas qui coûte ». Tant mieux, vous venez de le faire. Continuez simplement sur ce chemin là.

 

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 13:31

Lourdeur / grâce

 

Si vous ressentez de la lourdeur… c’est l’indication qu’il y a en vous une résistance qui vous empêche d’écouter votre être intérieur le plus élevé. Lorsque vous êtes en connexion avec votre moi-supérieur, vous êtes en connexion avec la légèreté, les vibrations élevées… la grâce.

La lourdeur est synonyme de coupure avec les plans célestes, l’inverse de la verticalité.

La grâce vous rend beau, vous donne l’axe, la direction de votre vie.

 

Froideur / compassion

 

La froideur vous coupe du monde, vous empêche d’être en relation avec les autres. Lorsque vous écoutez votre cœur, vos sentiments, vos émotions, vous avez un élan vers l’autre, un amour inconditionnel. Ce sont vos peurs (du manque d’amour, de la trahison…) qui vous font mettre une distance, qui vous rendent froid. Or, si vous aimez avec une totale ouverture du cœur et respect de l’autre, vous êtes compassion. Sans attente, rien ne peut vous arriver. Aucune souffrance dans le don pur. Vous donnez. Vous avez le plaisir, la joie de donner. Rien de plus, rien de moins.

 

L’autre est libre, libre de choisir sa vie, libre de choisir son chemin. La compassion est intimement liée au respect de l’autre. Vous lui laissez sa liberté, vous lui donnez simplement l’exemple en étant Vous dans la joie et la sérénité, le Vous rayonnant d’Amour et respectant son être profond. Inutile de mettre un masque ! A l’intérieur de vous, vous êtes Amour. C’est l’Amour qui tient vos cellules ensembles. C’est l’Amour qui vous a fait naître.

 

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 12:01

La confiance

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Nous avons déjà parlé de la méfiance du règne animal par rapport à l’humain.

Avez-vous confiance en vous ? Il transparaît que beaucoup d’entre vous n’ont même pas confiance en vous-même ! Et pourtant, il s’agit là du premier pas, le plus important. Pourquoi voudriez-vous que les autres aient confiance en vous si, vous-même, vous ne l’avez pas. La confiance permet d’aborder la vie avec sérénité, elle permet d’éviter les conflits. Regardez en vous. N’êtes-vous pas en vie ? Vous avez su arriver jusqu’ici, jusqu’où vous êtes à présent. Les erreurs font parties du chemin, elles font ce que vous êtes aujourd’hui. Remerciez-les plutôt que de vous juger. Chaque erreur a contribué à votre évolution. Remerciez-vous de les avoir vécues. La vie devient ainsi un hymne à votre être et à vos capacités et non à l’insatisfaction. La confiance, la foi en vous, est le pilier fondamental de toute action, de toute existence. Nous entendons : la confiance, on l’a ou on ne l’a pas. Mais pourtant, allez voir en vous, à la base. La partie supérieure en vous : vous admettez qu’elle existe. Vous savez aussi que cette partie sait, à une vision plus élevée du chemin à parcourir. Avec ces affirmations, il n’y a plus de doute possible, il vous suffit d’écouter à l’intérieur de vous, vous pouvez vous faire confiance. C’est d’une simplicité !

 

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16 septembre 2010 4 16 /09 /septembre /2010 11:24

Quelle est votre relation (rapport) avec la mort ?

 

En fait, on vous suscite la peur, la peur de mourir…

C’est exactement l’inverse ! Le rôle que vous nous prêtez vous fait sentir La Vie.

La mort fait partie de la vie. C’est vous qui scindez. La mort permet l’existence de la vie. C’est une boucle sans fin. Imaginez que la nuit ne vienne pas, la notion de jour vous échapperait. La vie et la mort, c’est la même chose, la même alternance. L’un n’existe pas sans l’autre. Vous n’avez pas peur de la nuit quand c’est le jour. Et savoir que la nuit va suivre vous aide à profiter vraiment du jour. Inutile de nier l’existence de la nuit ou d’y projeter des angoisses. C’est. Tout simplement.

 

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15 septembre 2010 3 15 /09 /septembre /2010 11:30

La dispersion du Hara :

 

Vous vous employez les uns sur les autres à affaiblir votre hara. Nous, les loups, on passe beaucoup de temps à renforcer notre hara, et par le fait même, à renforcer celui des autres. Nous renforçons notre hara en renforçant celui qui est en face de nous. S’il a un hara fort, je développe mon hara pour qu’il y ai équilibre. Dans votre civilisation, vous pratiquez le « diviser pour mieux régner » et « affaiblir pour dominer ». Aucune gloire en cela. Vos jeux de pouvoir sont faussés dès l’origine… Si vous restez en équilibre face à quelqu’un de fort, c’est que votre hara est fort également, autrement rien ne serait possible. Il vous serait profitable de prendre les choses par l’autre bout. S’affirmer face à une forte personnalité, c’est renforcer sa propre personnalité. De même, vivre pendant que d’autres sont écrasés par le monde, ce n’est pas constructif. Vivre en permettant aux autres de vivre non pas sous le joug d’un pouvoir mais vivre avec la nature, alors seulement vous vivez aussi avec elle, vous renforcez la relation que vous avez avec elle. Il n’y a qu’à regarder comment votre cœur se sent lorsqu’un être est écrasé, dominé par autrui. Votre cœur sait.Human of Wood

Renforce ton voisin, tu n’en seras que plus fort.

Affaibli ton voisin et ton cœur souffre.

 

 

C’est étrange comme vous regardez peu autour de vous. Tout vous est montré. Vous mettez votre énergie dans votre tête à comprendre ou ressasser certaines choses, ou vous mettez votre énergie dans le bas de votre corps à vouloir posséder les choses. Mais vous oubliez de regarder avec le cœur ce qui se passe autour de vous. En regardant autour de vous, vous verrez des symboles de ce qui est en vous, de ce que vous percevez avec des filtres, de ce que vous avez à travailler à l’instant où vous regardez. Comme la vie évolue, votre moi se transforme. Ainsi les images bougent et changent pour être fidèles à qui vous êtes au moment où vous l’êtes. Les images que vous percevez sont la transcription de la vérité perçue par vos filtres à ce moment-là. Et maintenant peut entrer en scène « votre capacité mentale » pour vous aider à percevoir les filtres au moment où ils sont utilisés et ainsi pouvoir les rendre translucides puis transparents afin de vous laisser baigner par la vérité, la voie, la lumière, la Source.

Otez vos lunettes et ouvrez les yeux… courage.

 

Diviser pour mieux régner :

 

Au centre du cyclone, il n’y a pas de cyclone. En tout, il y a son contraire.

Les apparences ne font pas la trame.

Si vous n’êtes pas vigilant, vous serez emporté par la marée qu’ont mise au point vos dirigeant. A tous les niveaux, le principe est exploité. Le jugement, la comparaison… outils du pouvoir. Vous rendre insatisfait donne une emprise sur vous.

Lorsque vous comparez, vous voulez plus, mieux…

Si vous êtes content avec ce que vous avez, si vous n’enviez pas votre voisin… le pouvoir organisateur ne peut pas vous pousser dans la direction qu’il choisit. Sans vous motiver à prendre la place, l’espace ou les possessions du voisin, il perd son rôle de « dirigeant » et donc son pouvoir.

C’est aussi pour cela que votre puissance intérieure, votre pouvoir n’est pas honoré, et même, est nié. Un homme fort et puissant, dirigeant sa propre vie est difficilement manipulable.

 

Ne vous laissez pas dériver par les faux-semblants, les fausses excuses, les faux-maîtres. Seule votre voix intérieure sait. Seul votre être est maître de sa destinée. Réveillez-vous. Vous savez, dans votre profondeur, ce qui est juste et ce qui ne l’est pas, ce que vous pouvez faire et ce que vous ne devez pas, qui vous êtes réellement et ce que vous n’êtes pas.

Lorsque vous aurez dépassé et éclairci toutes les illusions que vous avez sur vous-même, vous aurez fait la totalité du chemin.

 

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 10:06

Le partage

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L’univers est équilibre, les vides se remplissent, les trop-pleins se déversent.

L’univers est abondance, il y a assez pour tous, pour tout le monde.

Tout vous est montré.

Regardez le cancer : prolifération de cellules en un endroit qui entraine un déséquilibre, des manques ailleurs.

Qu’est ce que cela vous évoque ?

Regardez les régions de la terre en surabondance de nourriture, de biens, de richesse… déséquilibre… manque ailleurs sur terre… pays qui se meurt dans la famine. Et pourtant, vous savez tous autant que vous êtes, qu’il y a assez de nourriture sur cette planète pour vous nourrir tous !

Le soleil ne partage-t-il pas sa lumière avec la lune ? En est-il moins lumineux pour autant ? Pensez-vous que votre bonheur sera diminué si votre voisin a un toit et de la nourriture tout comme vous ? Tout cela semble tellement évident !

Le soleil ne sait pas éclairer partout tout le temps, la lune éclaire des parties qu’il n’éclaire pas. Et pour les parties non-éclairées ni par le soleil, ni par la lune, il y a les étoiles. Ainsi nul n’est sans lumière. Ses variations permettent la diversité dans l’équilibre. La diversité permet l’équilibre et l’équilibre permet la diversité.

Votre genou ne cherche pas à prendre la place de votre épaule. Ces deux parties d’un tout ont besoin de nourriture, vivent chacune ce qu’elles ont à vivre. Vous ne nourririez pas votre épaule au détriment de votre genou sans conséquences sur le corps entier. Ainsi va la terre. Certaines parties sont en surabondance et d’autres manquent… la terre réagit, se secoue. Si les « cellules » ne se décident pas à lâcher-prise et à partager, la terre va modifier elle-même le partage. Ce n’est pas une menace, c’est l’équilibre de la vie. La terre aime ses enfants. Si vous aviez deux enfants, laisseriez vous l’un manger toute la nourriture et l’autre le ventre vide ?

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 10:05

Possession :

 

Avez-vous déjà remarqué comment se comporte un loup avec ses petits ? Il ne les possède pas, ce ne sont pas les siens. Si le besoin s’en fait sentir, il les tuera ou même les mangera. Cela ne l’empêche pas de s’occuper d’un bébé d’un autre comme il se doit. Le loup peut aider un humain à survivre comme tuer ses propres petits pour la survie de la meute. Les deux ne sont pas incompatibles. C’est simplement qu’il ne possède rien. Le loup s’adapte à ce qui l’entoure. Il n’a pas d’attente. Il est.

Les humains ont tendance à vouloir posséder. Ils « ont » des enfants et donc craignent pour eux, désirent pour eux et certains même, vivent pour eux. En vous plaçant dans votre cœur, est-ce possible de vivre la vie d’un autre ? Vous ne possédez pas vos enfants, ils sont. Il en est de même pour beaucoup autour de vous. Vous ne possédez pas ce livre, il est entre vos mains, vous lisez des informations qui créeront (ou non) un certain comportement ou des réflexions, ou un changement dans votre attitude ou votre vie. Tout cela est mouvement et non possessions. Le mouvement est vie. Vous ne possédez pas la vie, vous vivez. Vous ne possédez pas d’objet ou de maison, vous les utilisez, les employez pour vivre. Plus le mouvement est fluide, plus vous vivez. Vous avez utilisé tel objet et maintenant vous l’offrez à d’autres : vous vivez. Vous avez élevez des enfants et maintenant ils vivent leur vie : vous aimez.

 

L’instinct de garder sa nourriture pour plus tard (comme le fait encore le loup) a été déformé par l’humain en « je possède ». Déformé car le loup vit grâce à la nourriture qu’il a mais l’humain n’a que l’impression de vivre grâce à ce qu’il possède (la plupart des humains, pas tous mais c’est une idée très répandue dans votre société). Lorsque vous vous rencontrez, ne demandez vous pas « qu’est ce que tu AS comme diplôme ? travail ? famille ? logement ? » Et non « qui ES-tu ? »

Et rapidement cela devient « plus j’ai, plus j’ai l’impression d’être, et la course à l’avoir commence au détriment de la vie. Vous oubliez souvent de vivre, d’être.

Et pourtant, lorsque votre passage approche, bien des humains se réveillent. Vous ne regardez plus les biens que vous possédez mais les liens avec les humains qui vous entourent, vous regardez le monde subtil et non les avoirs. Faut-il attendre d’être au seuil du départ pour vivre ?

Un exercice simple existe pour vous aider à vivre : le soir, lors du bilan de votre journée, à la place de vous demander ce que vous AVEZ fait lors de cette journée, vous regardez les moments où vous avez ETE durant cette journée. Plus vous accorderez d’importance à ces moments où vous êtes, plus ces moments vont augmenter en nombre et en intensité. Votre conscience sera aiguillée sur l’être. Et vous vous surprendrez à regarder les autres pour ce qu’ils sont et plus pour ce qu’ils ont. En commençant simplement par de petits moments, toute l’humanité peut évoluer vers l’Etre, comme les stalagmites se forment par le dépôt de petites particules qui se posent au fur et à mesure. Plus la stalagmite est grande, plus de particules s’y déposent. Ainsi peut évoluer la vie.

 

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